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AccueilNews - InfosSécuritéBrigitte Macron n'est pas «une belle-fille», l'aveu surprenant de la mère d'Emmanuel Macron

Brigitte Macron n’est pas «une belle-fille», l’aveu surprenant de la mère d’Emmanuel Macron

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La mère d’Emmanuel Macron s’est livrée à de rares confidences sur son fils dans le livre de Gaël Tchakaloff “Tant qu’on est tous les deux”, intitulé “Couvade”. Dans ce livre, Françoise Noguès a fait de surprenantes révélations sur la carrière politique de son fils, mais également sur l’intimité du couple présidentiel français.

Françoise Noguès, la mère d’Emmanuel Macron, prend très rarement, pour ne pas dire jamais, la parole. «Il y a certaines vérités que je veux rétablir, je m’exprime aujourd’hui une fois pour toutes. Ensuite, je ne prendrai plus jamais la parole», déclare Françoise Noguès à Gaël Tchakaloff dans son dernier livre, Tant qu’on est tous les deux.

« Brigitte n’est pas une belle-fille. C’est une amie »

Au début de la relation peu conventionnelle qui a débuté alors que le président était encore au lycée La providence d’Amiens, Françoise Noguès a déclaré qu’elle avait même décidé d’envoyer son fils étudier loin d’Amiens, afin de l’éloigner de celle qu’il aimait. Le temps a passé et la mère du président français décrit sa relation avec Brigitte Macron comme très intime. « Pour moi, Brigitte n’est pas une belle-fille. C’est une amie comme je n’en ai pas d’autres, on a les mêmes affinités, les mêmes priorités, on se dit tout ». Françoise Noguès est persuadée que son fils est « heureux », c’est bien le principal à ses yeux.

Il faut dire que le président était alors étudiant au lycée La providence, là où sa future épouse, elle, était professeure. 24 ans séparent, en effet, les deux amoureux. Mais, s’ils ont eu du mal à obtenir l’approbation de leurs proches, c’est également le cas de leurs familles respectives.

Françoise Noguès craint pour la vie de son fils

Celle qui surnomme le président “Manu” ne le sent en sécurité que dans les quatre murs du Palais. Elle est toujours traumatisée par les effigies de son fils qui ont été pendues et décapitées. Et sa peur s’est amplifiée le jour où il l’a appelé pour lui annoncer qu’il était contaminé par la Covid-19. Un matin, le politicien a téléphoné à sa mère pour lui dire qu’il se sentait “fatigué”.

“Moi, je lui souhaite vraiment une autre vie après l’Elysée (…) La seule fois où j’ai senti qu’il y avait quelque chose, c’est le matin où il m’a appelée pour m’annoncer qu’il avait le Covid, il m’a dit, ‘je suis fatigué’. Et ce mot ‘fatigué’, je ne l’avais jamais entendu dans sa bouche. Quand j’ai raccroché, je me suis mise à pleurer, j’étais effondrée.”

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