Jeudi 25 novembre 2021, ça va faire un an, jour pour jour, que Diego Maradona a tiré sa révérence. Mais, ce qui est extraordinaire, c’est que El Pibe de oro est omniprésent dans la mémoire collective, que ce soit dans son Argentine natale ou dans le monde entier.
Entre les fresques murales et les documents, réalisés en son honneur, Diego Maradona, entré à 60 ans au panthéon national, demeure vivant dans le cÅ“ur des amoureux du cuir rond et de ses fans.
«Diego vit», «10 Eternel», «D1OS» (jeu de mots avec Dieu et No 10), «Merci Diego», Diego balle au pied, Diego embrassant la Coupe du monde (1986) avec des ailes d’ange, en Saint patron avec auréole et sceptre, marquant le but de «la main de Dieu» contre l’Angleterre (Mondial 1986). Diego enfant, adolescent, joueur, quinquagénaire barbu, pour ne citer que ces exemples-là.
Entre son anniversaire – il aurait eu 61 ans, fin octobre – et l’anniversaire de sa mort le 25 novembre, Maradona est partout.
![Une fresque murale dans un quartier de Bella Vista (province de Buenos Aires).](https://cdn.unitycms.io/image/ocroped/1200,1200,1000,1000,0,0/C-QHKKyQZO0/9eiNFsWEKkdBgEQIgfBl6E.jpg)
![Une statue en bronze de 5 mètres de haut a été dressée à Santiago del Estero.](https://cdn.unitycms.io/image/ocroped/1200,1200,1000,1000,0,0/YxjWadkwqJs/AMA3hjW9Kc4B2ncKHhYxGo.jpg)
![La célèbre fresque de Barracas (faubourg sud de Buenos Aires), réplique de «La Création d’Adam» de Michel-Ange, où Dieu (Maradona) donne l’étincelle de vie à Adam (Messi).](https://cdn.unitycms.io/image/ocroped/1200,1200,1000,1000,0,0/nvTRQ731Mgk/D5ibeogja34AZbq5yTHNhu.jpg)
AFP