Hunter Biden, fils du président américain Joe Biden, a accepté de plaider coupable de crimes fiscaux et de possession illégale d’une arme à feu, selon des documents judiciaires déposés le mardi 20 juin.
Les membres du parti Républicain expriment leur indignation face à ce qu’ils considèrent comme un accord de complaisance en faveur du fils du président Joe Biden. Ils persistent dans leurs efforts pour mener une enquête parlementaire visant à éclaircir les supposés conflits d’intérêts.
L’enquête concernant les questions fiscales entourant Hunter Biden a débuté en 2018 et il aurait réglé ses dettes fiscales en 2020, comme le rapporte l’Associated Press. Les accusations portées contre lui comprennent deux chefs d’accusation de non-paiement volontaire de l’impôt sur le revenu. La deuxième accusation découle de la possession illégale d’une arme à feu en 2018, une arme dont il était en possession lorsqu’il était sous l’influence du crack. Et bien que Hunter Biden ait nié avoir consommé de la drogue lorsqu’il a obtenu cette arme, les faits indiquent le contraire.
Au moment de la publication de cet article, ni la Maison Blanche ni le président Joe Biden n’ont répondu aux nouveaux rapports concernant Hunter Biden. Cette affaire jette une lumière inattendue sur la famille du président, soulignant les défis auxquels certains de ses membres sont confrontés sur le plan légal.
Le plaidoyer de Hunter Biden, s’il est accepté par le juge, pourrait conduire à une résolution rapide de cette affaire, évitant ainsi un procès prolongé et ses conséquences potentielles. Cependant, cela soulève également des questions quant aux implications politiques et à l’image de la famille présidentielle, qui a été scrutée de près depuis l’entrée en fonction de Joe Biden.